P r e s s e
À t r o p a i m e r
( r o m a n )
/ « Remarquable roman. »
(France Inter)
/ « Un premier roman aussi juste qu'implacable sur l'emprise amoureuse.
Un livre de survie. »
(Télérama - TT )
/ « Une histoire qui happe le lecteur du début jusqu'à la fin de l'ouvrage. »
(Ouest-France)
/ « Un premier roman glaçant et juste.
Coup de cœur. »
(Télépoche)
/ « Un texte lumineux. »
(Le Télégramme)
/ « Pour son premier roman, Alissa Wenz frappe fort et juste. »
(Le Petit Bleu)
/ « Roman d’espoir, À trop aimer est autant la chronique acérée d’une déprise que du renoncement à être soi. »
(Le Maine Libre)
/ « Beau et glaçant sujet dont la complexité est parfaitement rendue, sans manichéisme, sans simplification. »
(En lisant en écrivant)
/ « Un récit intime, sensible et juste. »
(Lettres et caractères)
/ « Bouleversant. »
(Les Miss Chocolatine bouquinent)
/ « Un tour de force littéraire pour une cause essentielle aujourd'hui. »
(Mes petits lus)
C h a n s o n
/ « Poétique, piquante ou un peu nostalgique : on retrouve chez elle un petit quelque chose de Barbara. »
(Télérama)
/ « Touchante, drôle, caustique, pertinente, percutante et bigrement vivante. Alissa ou le bonheur des mots. »
(Moving Art)
/ « Elle a de l’énergie, une présence remarquable, une bonne dose d’humour et beaucoup de poésie. Un spectacle réjouissant d'une belle artiste. »
(L'Intermède)
/ « Elle fait montre sur scène d’une énergie folle et d’un savoir-faire tant dans l’interprétation que dans le jeu pianistique. Une maîtrise remarquable qui vient mettre en valeur des textes d’une grande qualité. » (Hexagone)
/ « Dramaturgie et décor : chaque chanson est en soi une histoire. (...) C’est un ravissement. » (Nos Enchanteurs)
/ « Elle a une présence délicate et déterminée sur scène. C’est léger et profond, amusant et plein de grâce. »
(Livrons-nous)
/ « Barbara, Marianne Oswald ou encore Boris Vian n’auraient pas renié cette artiste qui sait écrire et manie avec brio l’humour. » (RécréAction)
/ « Sur les traces des grands interprètes tels que Brel, Barbara ou encore Boris Vian, elle insuffle à ses textes tantôt la mélancolie et la nostalgie, tantôt l’allégresse, la légèreté et l’humour. »
(Etudiant de Paris)